Le site du Codevi connaît un vif succès
Vous êtes de plus en plus nombreux à vous connecter sur le site du Codevi. (lire la suite…)
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« Villiers-sur-Marne : les seniors sans carte d’électeur privés de Noël ! » C’est sous ce titre que le Parisien du 8 décembre nous apprend que des villiérains, venus s’inscrire au repas de Noël des anciens, se sont vus refoulés faute d’être inscrits sur les listes électorales ! (lire la suite…)
Le Préfet aurait pris la décision de suspendre le chantier jusqu’à nouvel ordre en attendant les conclusions de l’expert nommé par la tribunal administratif. (lire la suite…)
Vers 3h30 du matin les quelques riverains qui n’avaient pas été évacués ont entendu un énorme bruit. (lire la suite…)
Ce mardi 6 décembre vers 17 heures, la grue, construite la semaine dernière à l’emplacement où un effondrement de chaussée s’était produit en mars 2011 (bd de Strasbourg devant la maison de la petite enfance) , menace de tomber sur les immeubles environnants. (lire la suite…)
Mercredi 23 novembre vers 19 heures deux individus cagoulés et armés (couteau pour l’un, pistolet d’alarme avec gaz pour l’autre) ont braqué le bureau de tabac de la rue du Général de Gaulle en plein centre ville . (lire la suite…)
Les propriétaires de la maison du 6 rue du Bois St Denis ont été autorisés à regagner leur maison une semaine après le glissement de terrain.
Les autres locataires du 4 et 4 bis rue du Bois St Denis sont laissés dans l’incertitude quant à la possibilité de regagner leurs appartements. Il semble que la maison correspondant au 4 bis soit plus touchée que l’immeuble sis au 4 rue du Bois St Denis.
Les locataires ont des droits et leur bailleur des obligations qui sont rappelés dans le document qui suit.
Comme c’est le promoteur qui est responsable de la mise en péril imminent de l’immeuble, c’est lui qui devra in fine supporter les dommages et intérêts. Les locataires se tournent vers leur propriétaire, charge à ce dernier de se retourner contre le promoteur responsable.
Le propriétaire bailleur a également des droits dans cette affaire et peut obtenir la reconstruction de ses immeubles dévastés comme ce fut le cas dans un glissement de terrain analogue rue du Général de Gaulle.
Utilisation des locaux vacants
Lorsqu’un immeuble fait l’objet d’un arrêté de péril, le propriétaire est tenu d’assurer le relogement ou l’hébergement des occupants :
– si l’arrêté ordonne l’évacuation du bâtiment,
– ou s’il est assorti d’une interdiction d’habiter,
– ou si les travaux nécessaires pour mettre fin au péril rendent temporairement le logement inhabitable.
A compter de la notification de l’arrêté portant interdiction d’habiter et d’utiliser les locaux en péril, les locaux vacants ne peuvent être ni loués ni mis à disposition à quelque usage que ce soit.
Cette interdiction cesse d’être applicable à compter de l’arrêté prononçant la cessation du péril et la mainlevée de l’interdiction d’habiter et d’utiliser les locaux.
Suspension du paiement des loyers
Dans les locaux faisant l’objet d’un arrêté de péril, le loyer ou toute autre somme versée en contrepartie de l’occupation du logement cesse d’être dû à compter :
– du premier jour du mois qui suit la notification de l’arrêté de péril ou (à compter du premier jour de l’affichage de l’arrêté à la mairie et sur la façade de l’immeuble),
– jusqu’au premier jour du mois qui suit la notification ou l’affichage de l’arrêté de mainlevée.
Durée du bail en cours
Dans les locaux frappés d’une interdiction définitive d’habiter et d’utiliser, les baux et contrats d’occupation ou d’hébergement poursuivent de plein droit leurs effets, exception faite de l’obligation de paiement du loyer ou de toute somme versée en contrepartie de l’occupation, jusqu’au départ des occupants ou jusqu’à leur terme et au plus tard jusqu’à la date limite fixée dans l’arrêté de péril.
Hébergement des occupants
En cas d’interdiction temporaire d’habiter ou d’utiliser les lieux, le propriétaire ou l’exploitant est tenu d’assurer l’hébergement décent des occupants correspondant à leurs besoins.
A défaut, le maire prend les dispositions nécessaires pour les héberger. Le coût de l’hébergement est mis à la charge du propriétaire ou de l’exploitant.
Relogement des occupants
En cas d’interdiction définitive d’habiter et d’utiliser les lieux, le propriétaire ou l’exploitant doit assurer le relogement des occupants. Cette obligation se fait par la présentation à l’occupant de l’offre d’un logement correspondant à ses besoins et à ses possibilités.
Le propriétaire ou l’exploitant est tenu de verser à l’occupant évincé une indemnité d’un montant égal à 3 mois de son nouveau loyer et destinée à couvrir ses frais de réinstallation.
En cas de défaillance du propriétaire ou de l’exploitant, le maire prend les dispositions nécessaires pour les reloger.
Lorsque la collectivité publique (ou par exemple un organisme d’habitation à loyer modéré) a procédé au relogement, le propriétaire ou l’exploitant lui verse, à titre d’indemnité représentative des frais engagés pour le relogement, une somme égale à 1 an du loyer prévisionnel.
En cas de défaillance du propriétaire, si la commune assure les obligations de relogement, elle est subrogée dans les droits de l’Etat pour le recouvrement de sa créance.
A savoir : si l’occupant a refusé trois offres de relogement qui lui ont été faites, le juge peut être saisi d’une demande tendant à la résiliation du bail ou du droit d’occupation et à l’autorisation d’expulser l’occupant.
Sanctions à l’encontre des propriétaires
Est puni de 3 ans d’emprisonnement et d’une amende de 100 000 € :
– les menaces ou actes d’intimidation à l’égard d’un occupant en vue de le contraindre à renoncer aux droits qu’il détient en matière de relogement ou d’hébergement ou de rendre impropres à l’habitation les lieux qu’il occupe,
– le fait de relouer des locaux ayant fait l’objet d’une interdiction d’habiter et d’utiliser les lieux,
– le fait de percevoir un loyer ou toute autre somme en contrepartie de l’occupation du logement,
– le fait de détruire, dégrader ou détériorer des locaux dans le but de faire quitter les lieux aux occupants, dès lors que la procédure d’insalubrité a été notifiée,
– le fait de refuser de procéder à l’hébergement ou au relogement de l’occupant, bien qu’étant en mesure de le faire
Les villiérains constatent au bas de leur feuille d’impôt, cette année encore, une augmentation sensible de leur taxe d’habitation de 2,75% ! (lire la suite…)
De plus en plus de visiteurs n’habitant pas Villiers se connectent sur le site du Codevi. Il s’agit souvent d’habitants des villes proches de Villiers (Chennevières, le Plessis, Sucy, Bry, le Perreux…) ou d’internautes de la France entière (lire la suite…)
Bonne nouvelle, la police nationale serait sur la trace de certains des délinquants qui volent et agressent depuis plusieurs mois. Les vives protestations des villiérains, des habitants du Chateau et du Codevi ont contraint les pouvoirs publics à agir. (lire la suite…)