ce sont tous les trottoirs de villiers qui sont à refaire, à certains endroits il est même dangereux de circuler pour des personnes âgées,de plus ils sont tellement étroits qu’il est impossible de se croiser, obligé de descendre sur la chaussée au risque .de se faire renverser par les voitures,et ceci malgré les impôts scandaleux, toutefois pour les 50% qui les payent…

L’association du Codevi dénonce depuis plusieurs années les dégâts que peut occasionner une urbanisation intensive sur la commune de Villiers-sur-Marne. Les acteurs politiques locaux en sont tous conscients, ou presque…pourtant les projets immobiliers de logements collectifs proposés ne répondent pas, pour la plupart d’entre eux, à la fois aux caractéristiques des sols ainsi qu’aux attentes des citoyens-riverains qui sont les principaux concernés par ce changement de paysage urbain imposé par ces « décideurs » qui sont également des « donneurs d’ordre » . Car à travers le leitmotiv du manque de logements se cachent une piètre motivation: leurs profits.
Aujourd’hui à travers vos témoignages, le Codevi s’est rendu ce dimanche 15 octobre sur place, à votre demande, pour vous entendre et surtout vous écouter… Les représentants de l’association qui sont venus à votre rencontre ont « mesuré » l’ampleur du mouvement de terrain qui est en train de prendre des proportions inquiétantes(voir photos).
Il faut savoir qu’à cet endroit (nous sommes juste une rue en-dessous du Bois Saint-Denis) l’eau a créé des veines plus ou moins importantes qui alimentent en permanence le « Ru de la Lande », aujourd’hui canalisé ( situé en gros au niveau des voies ferrées). Ce ru suit « naturellement » sa pente jusqu’à la Marne, où il se jette…Lorsqu’on étudie la topographie et l’hydrographie de notre commune, on s’aperçoit que les sols glaiseux (constitués de marne bleue et grise) obligent le ruissellement des eaux de source et à fortiori de pluie à naviguer principalement en surface ou à quelques centimètres de celle-ci. Dans le cas présent on peut imaginer que les fondations de l’immeuble ( récent)situés entre 3 et 5 mètres (?) forment un barrage artificiel aux écoulements naturels de ces eaux. En conséquence l’eau stagne derrière ce mur artificiel, en attendant de trouver le passage qui la libèrera pour s’écouler dans le ru de La Lande. Résultat: le cadre de vie vendu sur toutes les brochures des promoteurs immobiliers, en prend un méchant coup derrière les oreilles, pour reprendre une expression populaire !
Alors que faut-il en penser ? Allons-nous recevoir un mot d’excuse comme par le passé à propos de l’épisode de « l’effondrement de la grue », de ce premier magistrat qui n’aime que lui et qui flatte son égo depuis des années, ainsi que celui de la classe sociale qu’il représente?
Allons-nous nous satisfaire de ce mot pour « oublier » ce que nous subissons au quotidien depuis deux décennies ? Je pense, une nouvelle fois, qu’il serait bon de songer à notre rôle et à notre place dans notre ville car tout homme politique « surfe » à un moment où à un autre sur nos faiblesses: le manque de solidarité, le manque d’attention pour les autres, la peur, la trouille…C’est pour cela que nous nous battons et que nous nous batterons jusqu’au bout avec le collectif « Pierre Florin » pour retrouver notre dignité qu’un seul homme nous a retirés par le mensonge, à l’occasion du projet Nexity au lieu et place de l’ancienne jardinerie, rue Léon Dauer !

Et pendant ce temps là, JA Bénisti tire sur une ambulance, s’en prend au malade et tente de le dépouiller en lui piquant sa place… Voir le Parisien à l’adresse c’est édifiant :
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/marne-la-vallee-l-arret-maladie-de-yann-dubosc-fait-tousser-aussi-epamarne-19-10-2017-7343439.php

Je viens de lire l’article du Parisien et les messages de Classic et Jean Paul et suis tout à fait d’accord avec leurs commentaires. Bonjour l’ambiance entre les administrateurs de ce panier de crabes qu’est le conseil d’administration de lEpa Marne. C’est effarant