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Comité de défense de Villiers-sur-Marne et de ses habitants

Grue « chancelante » : c’est la faute à la pluie !

Thème : accidents de chantier  - jeudi 15 décembre 2011
Dans une lettre distribuée ce jeudi 15 décembre, Jacques Alain Bénisti explique sans rire « qu’un  glissement de terre dû à une averse d’une rare violence et de courte durée » serait la cause de l’évacuation de plusieurs centaines habitants du centre ville et de la destruction d’un immeuble.
« Une giboulée de mars » en quelque sorte a failli provoquer un cataclysme. Le promoteur est ainsi dédouané par le maire : tout ce qui s’est produit n’a rien à voir avec le chantier en cours. Cela vient « du terrain d’à côté ».
« Les travaux peuvent reprendre, il n’y a plus aucun risque », c’est Monsieur le Maire et le Préfet qui vous le disent. « Vous pouvez dormir tranquille ».
C’est fou  ce qu’une simple giboulée peut provoquer ! (notre photo ci-dessous)
Les riverains du chantier croisent les doigts…  en attendant les tempêtes d’hiver.

 

 

 BREF RAPPEL des FAITS

Les habitants des immeubles de la rue du Bois St Denis et du Bd de Strasbourg

vivaient en paix avant le début du chantier

Les immeubles vus du côté du Bd de Strasbourg (ci-dessus) et  du côté de la rue u Bois St Denis (ci-dessous)

 

 

Acte 1 – Effondrement de chaussée

En mars 2011, le mur censé retenir la rue du Bois St Denis éclate sous la poussée du terrain sur lequel est construite la maison de la petite enfance. Le maire s’empresse de prendre un arrêté de péril imminent sur les trois immeubles de la rue du Bois St Denis. De nombreux locataires se retrouvent à la rue. L’arrêté du maire est levé sur la 3ème maison . Celle-ci est à nouveau menacée.

  

Acte 2 – Décembre 2011

Dans la nuit du 6 au 7 décembre 2011, les deux immeubles touchés en mars 2011 sont cette fois détruits sur ordre du Maire de Villiers-sur-Marne

 

  1. georges
    16 décembre 2011 à 8 h 28 min

    On dit ou écrit: « Madame, Mademoiselle, Monsieur ». Jamais le « Mademoiselle » en premier.

  2. Riveraine du chantier
    16 décembre 2011 à 11 h 43 min

    Je me demande comment les ouvriers font pour travailler encore sur ce chantier.
    Ils pataugent dans une pâte collante et le trou est de plus en plus gorgé d’eau
    On ferait mieux de remplir le trou avec de la terre et d’arrêter les frais avant qu’un nouvel acident ne se produise.

  3. Pampanito
    18 décembre 2011 à 12 h 34 min

    J’espère que les occupants de la maison qui est en dernière
    photo ont eu le temps de vider leurs pièces…….

  4. boops
    18 décembre 2011 à 17 h 06 min

    ce maire ne s ‘arrête jamais . Le ridicule ne tue pas !!! heureusement pour lui.

  5. boops
    18 décembre 2011 à 17 h 27 min

    le particulier est peu de chose par rapport à l’intérêt d’un promoteur !!!
    Et qu’on évite de nous faire le coup de l’intérêt de la collectivité quand il s’agit de purs spéculateurs , de promoteurs , ou de défiscalisation; c’est de l’intérêt purement privé .

  6. jojo
    18 décembre 2011 à 21 h 26 min

    Mais qui sont les experts?..le sont ils vraiment?.. Arrêter les travaux seraient d’une plus grande sagesse,sauf pour le promoteir bien sur.

  7. riveraine du chantier
    27 décembre 2011 à 21 h 33 min

    Ce mardi 28 déc, j’ai vu des géomètres place de Strasbourg en train de faire des repérages avec leurs espèces de « lunettes » J’en déduis que le promoteur va récupérer le terrain d’à côté pour étendre son chantier. Il ne restera plus que le petit pavillon à éffondrer pour étendre encore un peu plus l’emprise des constructions jusqu’au petit parking. Je parierai que le maire est prêt à céder ce parking à son copain promoteur… Plus c’est gros et plus cela passe. Totalement immoral

  8. boops
    24 janvier 2012 à 19 h 19 min

    si c’est ça on peut quand même se poser des questions !!
    que J A B continue : il exaspère même ceux qui ont voté pour lui et le retour de bâton arrivera aux prochaines élections .

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