Villiers, un univers de boutiques fermées
le numéro du Petit Journal en date du 12 mai 2009 a accordé une large place à la désertification commerciale du centre ville. cliquez ici
le numéro du Petit Journal en date du 12 mai 2009 a accordé une large place à la désertification commerciale du centre ville. cliquez ici
J’ai vu le commentaire d’une commerçante cherchant un local et se heurtant à un refus de la part du propriétaire…
Tout cela parait bien étonnant…mais réel !!
Je suis à la recherche d’un local et même si certains paraissent vacants depuis des mois voire des années, impossible d’obtenir un « oui » de la part des propriétaires !
Parfois même, ils vous rabattent vers une agence qui n’a pas la boutique en gestion !? (Principales tentatives dans la rue du gal de Gaulle)
Certaines boutiques restent même murées ou dans un état pitoyable plutôt que d’être louées.
Bizarre, non !?
Je crois qu’il serait important et urgent de se pencher sur le problème.
Car le centre ville devient un cimetière, avec ses petits trottoirs ou 2 personnes ne peuvent se croiser, se doubler, au risque de se faire renverser par les voitures.
Et d’ailleurs celui-ci de par sa disposition et son risque de se faire écraser ne fait qu’accentuer la fréquentation des grandes surfaces au détriment des commerçants de proximité .
ou irons travailler les 30000 habitants puisqu’il semble cela soit un objectif?
on sacrifie des zones industrielles pour faire plaisir aux promoteurs; on se berce d’illusions sur le grand paris à 15 ans alors que rien n’est sur (et surtout rien n’est financé!).
En attendant, les transports sont plus qu’insuffisants et pour avoir pris quelques années le RER A ,les conditions n’ont rien à envier au transport de bestiaux .
avec le recul, on constate que nous payons avec les cités des années après les absurdités d’urbanisme.
Quant au PLU; j’ai voulu aller voir à la mairie.réponse, on sait pas . On appelle les services techniques qui renvoient sur l’ancien immeuble léon dauer ou on trouve 4 pauvres posters qui ne peuvent en aucun cas être une base de débat.(au mois de juin).
j’imagine que le maire se fait conseiller. Il ne faut cependant pas qu’il oublie que nous serons les payeurs pour ne nombreuses années et que ce débat tout fait ne pourra en aucun cas présumer d’un soutient de la population dans les conditions actuelles ;